#38 Quels sont les risques et les effets bénéfiques de l’interruption des antipsychotiques chez les personnes âgées?
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- Revue systématique1,2 de neuf essais cliniques randomisés (ECR) portant sur l’interruption des antipsychotiques et signalant une variété de résultats :
- Seulement un ECR3 sur neuf a signalé une différence statistiquement significative du résultat neuropsychiatrique principal. Deux essais sont de plus haute qualité (y compris celui qui a signalé un changement neuropsychiatrique) :
- ADAD3: 180 patients (âgés en moyenne de 80 ans) dont les symptômes neuropsychiatriques se sont améliorés après un traitement par la rispéridone de 16 semaines (110 patients) ont été randomisés pour recevoir un placebo (interruption) ou continuer le traitement par la rispéridone.
- Récidive (l’une ou l’autre de quatre mesures) après 16 semaines : 60 % pour l’interruption par rapport à 33 % pour les patients ayant continué le traitement par la rispéridone (nombre nécessaire pour nuire [NNN] = 4 avec l’interruption).
- Aucune différence quant aux décès (mais les nombres étaient très faibles).
- DART-AD4,5: 165 patients (âgés en moyenne de 85 ans) ayant pris des antipsychotiques pendant trois mois ou plus pour des troubles comportementaux liés à la démence ont été randomisés pour poursuivre le traitement antipsychotique ou recevoir un placebo (interruption).
- Résultats neuropsychiatriques après six mois : sur huit différentes échelles, aucune n’était pire après l’interruption4.
- Une réduction statistiquement significative de la mortalité a été observée chez ceux qui ont interrompu le traitement (29 %) par rapport à ceux qui ont continué de prendre les antipsychotiques (54 %), NST = 4 avec l’interruption5.
- ADAD3: 180 patients (âgés en moyenne de 80 ans) dont les symptômes neuropsychiatriques se sont améliorés après un traitement par la rispéridone de 16 semaines (110 patients) ont été randomisés pour recevoir un placebo (interruption) ou continuer le traitement par la rispéridone.
- Seulement un ECR3 sur neuf a signalé une différence statistiquement significative du résultat neuropsychiatrique principal. Deux essais sont de plus haute qualité (y compris celui qui a signalé un changement neuropsychiatrique) :
- Revue systématique1,2 de neuf essais cliniques randomisés (ECR) portant sur l’interruption des antipsychotiques et signalant une variété de résultats :
- Seulement un ECR3 sur neuf a signalé une différence statistiquement significative du résultat neuropsychiatrique principal. Deux essais sont de plus haute qualité (y compris celui qui a signalé un changement neuropsychiatrique) :
- ADAD3: 180 patients (âgés en moyenne de 80 ans) dont les symptômes neuropsychiatriques se sont améliorés après un traitement par la rispéridone de 16 semaines (110 patients) ont été randomisés pour recevoir un placebo (interruption) ou continuer le traitement par la rispéridone.
- Récidive (l’une ou l’autre de quatre mesures) après 16 semaines : 60 % pour l’interruption par rapport à 33 % pour les patients ayant continué le traitement par la rispéridone (nombre nécessaire pour nuire [NNN] = 4 avec l’interruption).
- Aucune différence quant aux décès (mais les nombres étaient très faibles).
- DART-AD4,5: 165 patients (âgés en moyenne de 85 ans) ayant pris des antipsychotiques pendant trois mois ou plus pour des troubles comportementaux liés à la démence ont été randomisés pour poursuivre le traitement antipsychotique ou recevoir un placebo (interruption).
- Résultats neuropsychiatriques après six mois : sur huit différentes échelles, aucune n’était pire après l’interruption4.
- Une réduction statistiquement significative de la mortalité a été observée chez ceux qui ont interrompu le traitement (29 %) par rapport à ceux qui ont continué de prendre les antipsychotiques (54 %), NST = 4 avec l’interruption5.
- ADAD3: 180 patients (âgés en moyenne de 80 ans) dont les symptômes neuropsychiatriques se sont améliorés après un traitement par la rispéridone de 16 semaines (110 patients) ont été randomisés pour recevoir un placebo (interruption) ou continuer le traitement par la rispéridone.
- Seulement un ECR3 sur neuf a signalé une différence statistiquement significative du résultat neuropsychiatrique principal. Deux essais sont de plus haute qualité (y compris celui qui a signalé un changement neuropsychiatrique) :